Le contexte
Depuis 2011, diverses études expliquent qu’un quart des flacons-pompes rechargeables pour produits d’hygiène renferment des bactéries pathogènes.
ADA Cosmetics a mandaté l’université Rhin-Waal pour mener une étude indépendante visant à examiner l’ampleur de la contamination et l’origine de la contamination bactériologique des flacons cosmétiques.
L’hypothèse
Les études menées jusqu’à présent laissent supposer que la contamination bactériologique constatée survient lors du rechargement des flacons. Mais aucune preuve scientifique n’a été avancée.